Que faut-il pour gagner la Coupe? Après avoir écris les prochaines lignes, je me suis rendu compte que j'ai écris quelques lignes pour répondre à cette question 2 fois lors des 4 dernières revue. Et chaque fois, sans m'en rendre compte, j'ai abordé le sujet sous un angle différent. Tout ceci pour dire que c'est une question légitime, qui mérite d'"être posé régulièrement. Surtout avec les updates du simulateurs, et le changement de garde des super-puissance du circuit MoneyLigue. Je me suis posé la question encore une fois après la saison. Après la victoire des Islanders de New York. En fait, je me pose la question chaque année, une fois que le trophée m'a échappé. Au-delà la valeur sur la glace, on a déjà vu a 2 ou 3 occasions lors des 4 années d'existences de la MoneyLigue, des clubs un peu moribonds soulever le trophée. C'est rare que ça arrive, mais ça se produit. Qu'ont-ils que les autres n'ont pas? Et les grosses formations qui l'emportent, souvent contre d'autres puissances, pourquoi eux et pas leur rival? Je suis persuadé que dans la Ligue Nationale aussi, les directeurs gérants et leurs gardes rapprochés étudient la question. Les Kings ont gagné deux années sur trois grace a l'un des meilleur gardien de la planete et un club axé sur une défensive a outrance, et un jeu robuste. Plusieurs formations se sont dit qu'il fallait donc envisager de surpayer pour un jeu défensif et un futur hall of famer dans les filets. Pourtant, dans cette même période, les Penguins ont remporté autant de cupe Stanley avec un gardien recrue, une défensive très ordinaire mais avec une relance rapide, et une attaque dévastatrice. Voilà, il faut de l'attaque pour gagner la Coupe Stanley dans la NHL... Attaque ou défensive? Défensive rapide en relance ou robuste et défensive? Un gardien d'exception ou une recrue qui voguera sur son hot streak de départ, un peu à la Patrick Lalime ou Jim Carey du passé? Au fond, est-il possible qu'il faut un club balancé, tout simplement, et espérer ne pas rencontrer sur notre parcours le type d'équipe qui nous ferait plier les genoux? Dans le simulé, un Mark Messier n'a pas réellement un impact déterminent. On a beau y aller de belles sorties dans les medias-forums de la MoneyLigue entre les matchs, ça n'aura aucune importance. Alors balayons cet aspect. Sinon qu'a force de titiller une corde adverse, on peut semer le doute chez le coach rival afin qu'il change un alignement jusqu'alors gagnant. Les mots n'ont pas de réels impacts. Pas plus que l'alignement du roster, la beauté de l'alignement. Sinon les Sharks auraient au moins trois coupes en 15 ans. Quand on s'attarde un peu a la maniere que fonctionne un algorythme dans le simulateur, avoir trois joueurs d'exceptions aux mêmes valeurs n'est pas une valeur sur. Même qu'elle comporte plus de risque que d'avoir un trio balancé. Inutile de mettre trois joueurs qui auront des habiletés de passeurs si tu n'as pas de scoreur. Tout le monde sait ca. Mais inutile d'avoir des manieux et des joueurs rapides uniquement, la rondelle va avancer et se retrouver derrière le filet. Au-delà de ces concets maintes fois relatés, que pouvons-nous analyser pour répondre à cette question fondamentale : Que faut-il pour gagner la Coupe Stanley dans la MoneyLigue? Un hot streak en fin de saison Longtemps j'ai cru qu'entrer en série dans de bonnes dispositions étaient primordial. Par exemple sans blessés (même si cette valeur a hausser dans la Ligue, inutile de s'y attarder, il n'y en a pas suffisamment pour s'y pencher et surtout, ça ne fait qu'un an que la hausse a été effectué, donc, insuffisamment de donnés pour juger). La meilleure disposition qui nous cercerne, serait donc d'entrer en série avec un hot streak. Avoir au moins une fiche gagnante lors de nos dix dernières rencontres en saison régulières. Voici une petite analyse de cette facette, ou j'ai insérer pour chaque saison, les deux équipes avec le meilleur streak en fin de calendrier, ainsi que le gagnant de la coupe. Saison 14 : Saison 13 : Saison 12 : Saison 11 : Saison 10 : Saison 9 : Saison 8 : Saison 7 : Saison 6 : Saison 5 : Saison 4 : Saison 3 : Saison 2 : Saison 1 A partir de la saison 11, nous n'avons pas l'arbre des séries pour l'évaluation. Néanmoins, le point que je voulais amener n'était pas qu'il fallait absolument être l'Équipe avec la meilleure streak pour arrivé en série, si nous désirons gagner. Les Jets en sont la preuve car pas plus tard qu'il y a un an, ils ont entamé les séries avec une série de 10 victoires, et se sont incliner en première ronde. Toutefois, si on regarde les 14 saisons de la MoneyLigue, à 12 occasions les gagnants de la coupe ont entamé le parcours printanier avec une séquence avantageuse. En fait, les Islanders de New York l'an dernier, et les Flyers de Philadelphie lors de la première saison, sont les seules formations a avoir gagner malgré une fiche négative en fin de calendrier régulier. Analyse finale : Il n'est pas essentiel d'avoir une fiche positive en fin d'année pour gagner la Coupe Stanley. Mais ca augure mal car jusqu'ici dans la MoneyLigue, 12 clubs sur 14 étaient en bonne streak. … L'excellence d'une ligne de centre pour les gagnants S14 : P.Stastny, T.Bozak, B.Boyle,
J.Larsson Cette liste est assez probantes : si dans la NHL il faut une ligne de centre de premier plan, ce n'est pas le cas en simulé. Tout le monde a un premier centre de haute qualité, sans être elite. 7 fois sur 10, ce sont des centre two way au moment ou ils ont gagné la coupe Stanley. Et si on analyse plus en profondeur, beaucoup d'expérience et de leadership au niveau des centre bottom 6. Et sans en faire un calcul approfondi, je dirais que dans 75% des cas du coté des gagnants, leur ligne de centre reposais sur au moins un excellent centre defensif middle 6. Quand je vois Plekanec et Soderberg en Caroline il y a trois ans, ca explique un peu (une partie de) l'avenue utilisé par Julien. Il est presque impensable d'acquérir au deadline un Sydney Crosby ou Conor McDavid. Pourtant, si je me fie à ces données, pour un moindre prix (du moins avant cet article), obtenir un two way a la Derek Stepan ou Plekanec, pourrait s'avérer payant. A vous d'en tirer vos propres conclusions. Les gardiens, toujours les gardiens. S14 : H.Lundqvist 7 fois sur 10, il s'agit de gardiens elite. Pas loin du top 5, sinon dedans. Puis il y a un gardien dans les meilleurs cette année-là, disons top 20, comme Brian Elliott lors de la saison 10 chez les Stars. Deux fois seulement, une équipe a gagner la coupe avec un gardien en bas de la moyenne, soit Kari Lehtonen avec Ottawa et Christobal Huet avec Toronto. Toutefois, l'année ou Huet a gagné, Maty Turco avait été acquis et avait partagé le filet en série, si je me souviens bien. Je n'ai pas la donnée exacte, a savoir lequel des deux avait garder le filet en finale. Pour résumé cet article, je dirais que, davantage que dans la NHL, un gardien parmi les meilleurs permet d'aspirer aux honneurs. Davantage qu'un centre de premier plan ou une streak intéressante a l'aube des séries éliminatoires. J'allais écrire pour conclure qu'on sait tous combien il est difficie d'acquérir des premiers gardiens dans le circuit. Toutefois durant le dernier été, y'a eu énormément de gardien qui ont changé d'adresse. Ce qui me fait croire qu'on ne verra pas de si tôt de bons cerbères sur le marché. Sinon un seul par saison. La vague est passée, que cela plaise ou non aux clubs qui en chercheront un dans les prochaines saisons. Vous devrez surpayer pour cette rareté, assurément.
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