Les paires de Défenseur Au courant de la dernière saison, j'ai soumis un texte sur le forum qui parlait des 4e défenseurs. Le but était d'analyser quelle équipe obtenait le meilleur rendement de son 4e défenseur. Àce titre, j'étais impressionné par les statistiques que m'apportaient Dennis Seidenberg qui, après le texte, avait confirmé mon impression: il était parmi les trois meilleurs défenseur de sa position à ce stade-ci. J'ai poussé plus loin mon analyse en cherchant à découvrir s'il n'y aurait pas corrélation entre les bonnes équipes - je parle de rendement, pas de roster/nom - et cette fameuse deuxième paire de défense. Il est important de mettre e perspective la valeur des défenseurs dans le circuit MoneyLigue pour commencer. Ils sont assurément la position la plus difficile a évaluer en simulée. On prendrait tous un Erik Karlsson avant Shea Weber. D'un autre coté, plusieurs directeurs gérants prendraient Drew Doughty malgré ses fiches moins spectaculaires au lieu de se rabattre sur PK Subban. En simulé, qu'en est-il vraiment? J'ai l'impression depuis quelques années que nous sommes dans le retour du balancier à propos des défenseurs. Lors des six ou sept premières saisons, chaque club avait un quart arrière de 65 points et plus. C'était l'offensive à l'excès. Je me souviens d'une année de plus de 80 points de Rob Blake, ou encore les grosses années de 70 points de Scott Nierdrmayer avec le club d'expansion des Trashers. Ça n'avait aucun sens. On aurait pensé que les gars ne passaient jamais la rondelle à leurs attaquants tant ils marquaient des buts. La MoneyLigue du début des années 2000 était pour ainsi dire affublée du syndrome du Brent Burns show. Depuis, nos blueliner ont repris davantage leur place sur l'échiquier glacié. Toutefois les rares bombes offensives sont toujours efficaces. Brent Burs et Erik Karlsson viennent de conclure leur dernière saison avec 74 pts et 71 pts respectivement. Alors peut-on envisager qu'un Brent Burns ML atteindrait 30 filets l'an prochain? Karlsson pourrait-il terminer avec un pts par match comme ces prédécesseurs une décennie auparavant? Laréponse est oui. C'est probable. Somme toute, une première paire de défense élite est avantageuse pour une équipe. Primordial? Non. Il faut toutefois un vrai quart arriere. Mike Green vient d'aider les Maple Leafs a gagner la coupe ML, alors qu'il était seconder par... Ben Lovejoy. Les grosses saisons des Stars et leurs divers périples en série était possible grâce au brio de Brent Burns. Depuis l'échange, les Stars s'essouffle légèrement en série. L'âge rattrappe-t-il les vieux Stars du Magicien ou est-ce le départ de leur quart arrière qui fait effet domino sur leurs prestation printanière? Un fait demeure, avoir Alex Goligoski comme premier def (Dallas) ou avoir Duncan Keith (Edmonton) ne semble pas créer un si grand avantage/désavantage à l'une ou l'autre des formations. Golgoski a terminé avec 35 pts alors que Keith a récolté 46 pts. Là ou il peut avoir une différence, ce n'est pas en attaque. Je crois que le temps de jeu d'un défenseur de première vague aura sa part de point. (oublions les joueurs elite). La différence se trouve dans le différentiel. Une équipe avantagée par ses joueurs devra compter sur un aspect défensif de ces derniers. Les Stars ont eu une meilleure saison que les Oilers, pourtant Goligoski conclu a -8 sa saison, alors que Keith termine a +1. On aurait pu s'attendre au contraire ici. Et pourtant le joueur des Stars avait 80 de DF pour 82 a celui des Oilers. Alors ou est la différence? Pour résumé ma pensée sur le sujet, je crois qu'il y a peu de différence entre un bon défenseur considéré, par exemple, 10 à 20 de sa profession, versus un défenseur considéré 21 à 30. Il y a une différence, les chiffres démontrent que les cotes avantageuses en attaque ont offert a Keith 11 pts de plus que son homologue. Et défensivement sa valeur de 2 aussi lui a donné un avantage de 9 sur le difféérentiel. Toutefois Keith jouait deux minutes de jeu de plus que Goligoski. 26 minutes pour 24 minutes. Cela donne 8% de différence. Ajouter ce pourcentage a l'offensive de Goligoski et il frole alors les 40 points. Ajoutez à ceci que Keith a évoluer sur 16 power play de plus que Goligoski, peut-on parler encore d'une différence de 7 ou 8 points entre les deux? Sans oublier de mentionner que l'attaqiue des OOilers, sur papier et sur la glace, était supérieur a celle devant Goligoski. Définitivement, je crois qu'il y a pas, ou peu, de différence entre des défenseurs de premiers plans. Tout se joue sur leur temps de glace et la valeur de leurs coéquipiers autour d'eux. Je le souligne de nouveau, sauf pour les défenseurs elite. Je dirais les 5-6 meilleurs défenseurs, eux sont dans une classe à part. Cette année je me suis penché énormément sur un aspect dont l'importance est supérieure à celle d'un top pairing: le second pairing. Ça peut paraitre bizzare a dire, mais je crois qu'en simulé, avoir 4 défenseurs two way aura un impact supérieur qu'avoir Erik Karlsson et Marc Methot sur la premiere paire, si on doit descendre notre valeur de deuxieme paire avec des Andrew Ference et Brandon Davidson. Si on regarde les bonnes formations, ils ont [presque] tous compter sur une deuxieme paire qui ont fait un boulot exceptionnel. Petit rappel avant de passer au tableau des paires de défenseurs des formations ML lors de la saison 13, pour justifier qu'un défenseur est un top pairing, j'ai regardé son utilisation global. Par exemple, à Toronto, Torey Krug évoluait souvent sur un top 4, mais son temps d'utilisation le faisait descendre au 5e rang de sa formation.
J'inviterais tout le monde a regarder une tangente a propos des 3 meilleurs formations de la dernnière saison. Au sujet de leur top 2.
Winnipeg: Alexander Edler; Les trois meilleurs équipes utilisaient un défenseur défensif sur leur top 2. Et ca porté fruit. Ajoutez a cela que les Maple Leafs ont gagné la coupe en jouant Ben Lovejoy en tant que 2e defenseur le plus utilisé, après Mike Green. Est-ce un hasard? Peut-être - peut-être pas! Un phénomèe me surprend en analysant ces chiffres. Certaines bonnes formations sur papier n'ont pas de quart arrière. Est-ce que cela pourrait expliquer leur déboire de la dernnière saison? Je pense aux Flyers de Philadelphie en tête de file. Francois Beauchemin est le def le plus utilisé la-bas. Ensuite Niklas Hjalmarsson. Troisième position Adam Larsson. Si les Flyers ajoutait a cela un quart offensif, pourrait-ils tomber parmi l'elite de la MoneyLigue? En observant les équipes en reconstruction, j'aime bien observer ce tableau pour apercevoir celes qui sont sur la voie de la réussite a court/moyen terme. Exemple les Bruins avec Ekholm, Schultz et Orlov. C'est intéressant comme base sur laquelle s'appuyer en attendant les renforts. Autre aspect intéressant, beaucoup de défenseur top 4, important a leur formation, ont changé d'adresse depuis la dernière campagne. On dit souvent qu'après quelques années, une ligue dort un peu coté transaction importante. Des trades à la Gretsky se feront rare, bien sur. Mais des trades d'importances, non. Encore une fois, il sera difficile de prédire quelleséquipes auront gagné au change durant l'été. Ne suffit pas d'obtenir le meilleur joueur - dans le cas présent parlons défenseur - mais bien de bien juger du type de joueur que notre formation a acquis pour s'améliorer. Je regarde le top 4 des Capitals de Washington, et je suis bouchebée chaque fois. Est-ce trop homogène pour fonctionner en série? Quoique, avec un gardien en santé, tout aurait pu changer. Je remarque aussi que coté block shot, peu importe l'équipe ou la valeur des joueurs, le temps de jeu vient a prédire combien le joueur aura comme valeur. À quoi cela est-ce du? Aucune idée. Mais c'est assurément une facette de la game qui ne m'interpelle plus autant qu'avant. Toutefois le ratio mise en échec versus punition reste important a mes yeux. Par exemple mon 3e def, Jake Muzzin, avec 226 mises en échec pour seulement 41 punition (dont un combat, donc...) m'en donne pour mon argent. Idem chez les Capitals avec leur deuxieme duo digne d'un premier: McDonagh/Boychuck qui combine 330 bodycheck pour seulement 49 minutes de punition. Assez exceptionnel! Bref, c'est vraiment difficile de juger les défenseurs. Certains y vont avec de l'offensive a tout prix, d'autre plus défensif. Cependant il est noté qu'un bon ratio attaque-defense avec une facette de discipline est gagnante. La logique est respectée.
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