Predictions de la MoneyLigue
Cette année, davantage que les dernières saisons,
je considère que le classement sera d'autant plus difficile à prévoir.
D'abord, dans la conférence Est, il y aura passation des pouvoirs.
C'est-à-dire que selon mes pronostiques, le Lightning de Tampa Bay ne
sera plus dans une classe à part. À mes yeux, sur papier, les Hurricanes
de Julien Matte seront l'équipe à battre - toute conférence confondue.
L'an dernier, je voyais les Canes avec une position wild card: ils
auront terminés bien en dessous de la barre de la respectabilité. Bad
luck. Je ne crois pas qu'ils avaient une formation "hors séries". Idem
pour le3s Capitals de »Washington que j'avais placé 2e de la division.
Ces derniers auront raté de quelques poussières la huitième position.
Place octroyée aux Flyers de Jonathan Girard qui, à mes yeux, était un
incontournable pour les séries. Après analyse, encore plus depuis les
changements de l'entre saison, la division Metropolitaine fera un, voire
deux, malheureux. de loin la division la plus forte de la Ligue. Outre
le Lightning qui reste une puissance de la MoneyLigue, quatre formations
dans la Metropoliatin peuvent gagner la première position de la
conférence: Soit les Hurricanes de la Caroline et les Capitals de
Washington, deux clubs qui entreront en série par la grande porte (j'en
suis convaincu), ce qui mettra en danger deux formations de haut niveau:
les Rangers de New York et les Flyers de Philadelphie. Avec cette idée
en tête, celle d'une division sans merci, j'ai l'impression que l'une de
ces 4 équipes verra sa saison se terminer abruptement. Possiblement en
ratant les séries, sinon en perdant beaucoup d'énergie dans cette
obtention.
Dans la division Atlantic, outre le Lightning de
Rémi Baril qui ne devrait pas sentir aucun souffle dans leur cou de la
saison même en sacrifiant des vétérans dans leur rang, je ne perçois
aucune surprise en vue. Ottawa et Montréal auront les deux autres
positions assez facilement. J'Aurais été porté à croire que le Canadiens
auraient aisément dépassé les Sénateurs, mais avec la position
personnelle du directeur gérant Montréalais, il est difficile de lui
donner un avantage sur le point technique. Et ce, même si les
changements possibles dans la vie de Martin Dore (déménagement?)
pourrait l'empêcher d'aider son équipe de façon active pendant un court
laps de temps.
La huitième position devrait se batailler entre
les Jackets - sans aucun doute l'Équipe qui connaîtra la plus grande
baisse depuis la dernière saison) et les Penguins/Maple Leafs. J'aurais
pu insérer les Leafs 8e cette année. Actuellement, leur équipe est supérieur
aux Penguins et les JAckets. Mais ils devront couper dans le gras d'ici
les 2 prochaines semaines afin de respecter le plafond salarial. Pipo
devra couper au moins deux joueurs d'importances et possiblement l'un de
ces deux gardiens numéro un. Notons que les quatre dernière formations
de la conférence pourrait jouer au yoyo toute l'année, n'ayant aucun
gardien numéro un devant leur filet. Mais Boston et Buffalo devraient
terminer deux derniers puisque les joueurs n'ont pas les qualités
offensives et défensives pour supporter le manque dans les filet.
Conférence Ouest, je vois très peu de surprise. Je vais passer
facilement la division centrale, car je ne vois aucun changement
envisageable. Les Jets manqueront toujours de jus pour dépasser les
récents champion, le Wild du Minnesota. Les Stars, malgré quelques
plumes perdues, sauront rester dans le top 3. Mais se sera assurément
une année de transition pour eux. Plusieurs joueurs sur le déclin, une
défensive surprise depuis quelques années, n'auront plus la faveur des
Dieux du hockey. Néanmoins, reste un incontournable pour les séries.
La Pacific verra le retour des Oilers en série. Malgré ma
prédiction de l'an dernier, je ne suis pas surpris d'avoir vue Edmonton
raté les séries l'an dernier. Un dg de qualité qui peut tomber en
latence pendant quelques semaines, ce qui fait en sorte que, si l'Équipe
connaît des déboires, le temps de réaction peut résulter à une perte
d'une dizaine de points au classement. Contrairement aux Sharks qui,
après des années mi-figue mi-raison, auront sa saison de gloire avec
l'acquisition d'un gardien numéro un de premier plan cet été. Je crois
sincèrement que l'année pourrait être celle des Sharks. S'ils n'avaient
pas échangé certains joueurs pour se renforcir dans l'avenir (je pense a
Johnson, entre autre), je les aurais désigné comme futur gagnant de la
Coupe Stanley. En saison, ils seront l'Équipe à battre (avec le Wild).
En série, il faudra des changements d'ici le deadline pour me convaincre
sur le plan du leadership et de l'Expérience. Pour contrer la guigne qui
frappe la formation depuis quelques années. Il s'agit aussi d'une
passation des pouvoirs dans la division, jusqu'ici accaparée par les
glorieux Flames de Calgary. Avec le départ de Mike Smith et la confiance
semi aveugle en Jonathan Bernier, ils ont les moyens d'être de l'Élite
encore, mais pourrait aussi bien voir ses points fondrent au classement.
Suffisamment pour rater les séries? Pas du tout - il ne faut pas
exagéré. Car avouons-le, la conférence Est est plus faible que la
conférence Est à l'aube de la prochaine saison.
Parlant de faiblesse dans l'Ouest: j'envisage de voir les Canucks
terminer 7e (avec une notice comme quoi ils pourraient bien descendre.
Pourquoi donc? Parce que le directeur gérant même, durant l'été, a admis
croire qu'il raterait peut-être les séries. Surprenant, un an seulement
après avoir vider les fonds de l'Équipe pour prendre possession de
vétérans tels que Zdeno Chara et Martin St.Louis à l'autonomie complète.
Un an plus tard, trophée du dg de l'année en poche et plusieurs honneurs
obtenus par le diminutif joueur québécois, l'organisation même de
l'Équipe Canadienne doute de ses chances. Je trouve cela surprenant,
surtout que, outre les Kings de Los Angeles qui se sont légèrement
améliorer depuis la dernière saison (même si je ne les vois pas gagner
des positions au classement), eh! bien le reste de la conférence est en
dégringolade, sinon, en pleine construction. Les Blues et les Pred's
furent les deux seules équipes ayant bataillé une place en série l'an
dernier. Dans les deux cas, leur formation ont perdu des plumes. Ce qui
permettra possiblement à l'Avalanches de prendre du gallon, peut-être
même les Hawks de Chicago, deux équipes à une saison, maximum deux, de
revenir se battre de pied ferme pour les séries.
Arizona ne pourront compter sur une deuxième
saison spectaculaire de leur gardien James Reimer pour leur permettre de
voler une position en série. Alors que les Ducks d'Anheim continue de
reconstruire, sans déroger à leur plan initial. Parlant de ces derniers,
je ne serais pas surpris de voir leur meilleur joueur, Phil Kessel,
changer d'équipe d'ici les Fêtes, lorsqu'il aura démontrer son savoir
faire en compagnie de centre tel qu'Evgeny Malkin et Sydney Crosby. Une
valeur marchande qui sera en hausse dans les prochains mois, aidant
ainsi l'organisation à accélérer le processus de construction.
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