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Ces dernières saisons, la
MoneyLigue a accueilli plusieurs nouveaux visages. Si, au court des mois
comme participants de cette ligue, ces "baby-face" ont entraperçu des
liens solides entre les dgs, voire des frictions indéniables entre
certaines têtes fortes, pour la plupart d'entre eux, il serait difficile
de comprendre l'essence même ayant alimenter ces liens au fil des ans.
Après 10 ans dans la MoneyLigue, sans oublier ces univers parallèles
dans lesquels nous avons évoluer de concert, je crois intéressant de
faire un survol rapide de notre historique. Et pourquoi pas, reprendre
quelques anecdotes à notre sujet. Si cela peut permettre une intégration
plus facile, à défaut de mieux nous comprendre, ce petit article aura sa
raison d'être! Évidemment, prenez ces trente petits points avec un clin
d'oeil.
1) Il faut savoir qu'une partie des directeurs gérants de la
MoneyLigue ont eu un rôle dans la défunte V-lnh-V qui n'aura jamais
atteint le stade de cette "seconde ligue à Clumsy", c'est-a-dire de
vivre une décennie complète. L'esprit de corps du noyau aura donc prit
forme là-bas, même si plusieurs se sont cotoyés dans d'autres ligues
comme la LHV, LHSS, PHS...
2) Le système "d'achat de
club" a été pensé après avoir vu plusieurs ligues fermées faute de
parité. J'ai vu (ou sous-entendu) des GM's ayant deux clubs, ou un
beau-frère plus ou moins fictif avec un club, pour se booster une
formation. Avec un "achat", il devient plus difficile pour cette petite
crosse d'être faisable. Possible, mais moins évident. Car quand tu
achètes un club 70$, payer le double pour permettre de se booster, sans
que ça paraisse trop mal, c'est assez difficile. Dans le même ordre
d'idée, après l'ère V-lnh-V qui se jouait deux saisons par an, une
majorité des gars ont déduit qu'une ligue une année par an serait plus
sérieuse. Moins Fantasy/Arcade. Aujourd'hui, je comparerais la
MoneyLigue à un roman. Le suspens est durable, voir intenable. Alors
qu'une ligue à deux ou trois saisons par année est comparable à un
blockbuster au cinéma. Un excellent divertissement, sans y chercher les
deuxième ou troisième degré dans le produit.
3) Le
tout récent dg des Devils, Mr.Champ, est la girouette de la Ligue. Ayant
été président pour le plus grand nombre de club: Chicago, Washington,
Minnessota, Devils et possiblement un autre dont je ne saurais écrire.
C'est dire à quel point il est girouette, ce Champ! Sa dévotion envers
ses équipes est très... ÉLASTIQUE!
4) Au début de la MoneyLigue,
le président (moi-même à l'époque) avait 4 chums personnels dans la
Ligue. Le premier dg des Devils, faute de participation, fut le premier
dg limogé dans l'histoire de la MoneyLigue. Et ce, après 2 mois
seulement. Un certain message de fermeté venait d'être lancé. Puis,
quelques mois plus tard, au tour du dg Montréal (mon meilleur chum), de
quitter le navire. Après un geste regrettable - un suicide. Geste qui,
en soit, laisse des doutes, des interrogations mais principalement, un
certain désir d'unification au travers la MoneyLigue. Cette ligue aura
été son dernier "dada" hockey après avoir quitté son équipe de hockey du
samedi soir. Jonathan Girard (Flyers) et David Chevrette (San Jose) sont
les deux autres dgs que je connaissais personnellement en dehors des
ligues simulées. Même si j'ai appris à connaître personnellement une
quinzaine d'autres d'entre vous depuis le temps.
5) Ne jamais croire Jonathan Girard (Philadelphie) et Pipo
(Toronto) quand, lors d'un draft, ils
disent qu'ils partent pour cinq minutes. Leurs péripéties dans de tels
circonstances sont telles qu'on était sur le point d'envoyer leur
portrait chez Québon, pour les pinthes de lait lors d'un certaon draft à Québec
(saison 8, je crois)
6) Même si plusieurs adorent
les statistiques dans la ligue, Fox (St.Louis) est le maître incontesté
des stats de son équipe. La rumeur veut même qu'il sache par coeur le
rendement de ses joueurs (surtout la famille Staal), au moment même où
il marque durant la saison. Pour lui, le prochain but d'Éric Staal n'est
pas le premier de la saison 11, mais bel et bien son 224e de sa carrière
dans la MoneyLigue.
7) Ne
jamais inviter David Chevrette (San Jose) et Dave Bergeron (Islanders)
dans le même tournoi de hockey.
8) La MoneyLigue est, d'après
ce que je connais du monde simulée, la ligue qui aura réuni à ce jour le
plus grand nombre de participant aux repêchages. J'aurais besoin d'aide
pour en faire le décompte exact. Sous toutes réserves, j'avancerai le
nombre de 140 présences depuis 10 ans. Si vous connaissez une ligue qui
peut battre ça, qu'elle se présente! Nous détenons un record, à ne pas
douter. Surtout pour une ligue "adulte", qui ne se fournit pas en dg à
l'intérieur d'une école. On devrait frapper le 200 présences au draft de
la saison 14. Peut-être avant!
9) La
MoneyLigue est, à ma connaissance, la seule ligue simulée avec un show
radiophonique biannuelle: première édition en début de saison afin
d'établir les forces et faiblesses en présence pour la prochaine année.
Et émettre son bulletin des prévisions du prochain classement. Ensuite,
il y a le spécial deadline, qui, même sans beaucoup d'échange, est un
must a écouter année après année avec Champ (NjD) et Ledge (Wsh)
comme analyste. Deux dgs chevronnés, de vrais pros, à notre service!
10) Ne jamais inviter David
Chevrette (San Jose) et Gilles Piette (Penguins) dans le même pool de
hockey.
11)
Toujours mettre un casque de hockey en présence d'un ex/(re)nouveau dg
du nom d'Alexandre "Race" Racine. Surtout si vous êtes proche d'un
vaisselier. Chevs est day-to-day depuis trois ans après avoir
perdu son combat contre le meuble. Ah! et tant qu'on parle de l'homme au
mille et un retour dans la MoneyLigue, dites-vous que, si ça sent la
merde dans un stationnement, c'est probablement parce... y'a de la merde
quelque part!
12) Ne jamais invité Alexandre
Rivard (Winnipeg) a embarqué dans votre char neuf lors d'un repêchage. À
vos risques et péril (Encore désolé, Girard (Philly)!)
13) Si
vous croisez le dg Chris Paquet (Buffalo) dans un bar, demandez-lui
comment va sa vie sexuelle. Vous venez de vous bouquez une petite heure
rigolote.
14) Il y a deux ans, la
MoneyLigue a subit un choc quand le président (moi-même) a quitter la
barre du navire. Mais de main de maître, le dg Martin Dore (Sénateurs) a
prit la relève. Dg qui est pourtant relativement nouveau dans l'univers
de notre noyau MoneyLigue/V-lnh-V. Encore une fois, merci Martin!
15) Ne
jamais inviter David Chevrette (San Jose) et Fred "Fox" Blain (St.Louis)
à la même soirée meurtre et mystère. Front Page double du Journal de
Montréal garanti - ou le Allo Police, c'est selon!
16) Une rumeur circule depuis
quelques temps que le fameux "Simon T", inventeur du simulateur STHS,
serait le pseudonyme de Réjean Gilbert (Dg Dallas). Le principal
intéressé ne retourne pas les appels lorsqu'on l'interroge à ce sujet.
Sans doute trop occupé à "shiner" ses bagues de la Coupe Stanley...
17) "Ce
qui se passe au draft, reste au draft... ou du moins, dans l'univers
MoneyLigue."
18) L'alcool "la pas fiable",
eh! bien ça le dit, c'est pas fiable! Parlez-en au dg Benoit Courschene
(Montréal).
19)
Chevs (San Jose) a le record absolu, et difficile à battre, pour le
nombre de post sur le forum de la MoneyLigue. De loin, le dg élite de
l'aspect "volubilité". Dave pourrait citer Paulie Pennino à ce sujet:
"Je suis de la majorité non-silencieuse,"
20) Jonathan Girard (Flyers)
est le seul dg de l'histoire a avoir emporté la Coupe du monde de la
MoneyLigue. Année durant laquelle il aura aussi remporté la Coupe
Stanley. Un fait d'arme qui sera difficile à établir lorsque la coupe du
monde reviendra (je l'espère) ébranler la MoneyLigue..
21) Le
club de Carl Ducasse (Calgary) est la seule formation de la MoneyLigue a
ne jamais avoir raté les séries. Suivi par les Stars de Réjean Gilbert
et le Lightnings de Rémi Baril qui auront raté une seule fois le tournoi
printanier.
22) La seule formation à ne
jamais avoir accédée aux séries éliminatoires est les Pantheres de la
Floride (trois dgs différents). Ceci dit, l'équipe existe depuis 6
saison seulement. Les trois autres expansions étant les défunts Trashers
d'Atlanta devenu les Jets de Winnipeg, Les Blue Jackets de Columbus et
le Wild du Minnesota.
23) La
8e merveille du monde est en lien avec l'un de nos dgs. Demandez au dg
Donais (Floride) de vous présenter sa soeur, vous allez vite comprendre.
24) La MoneyLigue a eu des dgs
assez dispersés sur le plan de la géolocalisation. Et pas seulement au
Québec. Je pense à notre président, Martin (Ottawa), qui vit dans
l'ouest Américain (Santa Monica), l'ex dg des Devils, Wasim Kary, qui
vivait, je crois, en Californie un certain moment, le dg des Islanders
(Dave Bergeron) qui était à Whistler, si je me souviens bien, etc. Ce
qui n'a pas empêcher Martin de descendre a un draft a Quebec il y a 3
ans, soit-dit en passant. Ça aussi, se sera difficile de battre ça!
25) Ne
jamais faire de jeu de mot avec le gardien de but du Lightning de Tampa
Bay. Et ce, même si le nom de Pekka Rinne
ressemble gravement à une petite créature de bonhomme animé:
26) L'aîné de la MoneyLigue
est le co-dg des Penguins (Gilles Piette) et le cadet, double médaillé
de la Coupe Stanley, le dg du Lightning (Rémi Baril).
27) Deux
clubs de l'Ouest (Dallas 2x et Calgary) ont gagnés la Coupe Stanley dans
la première décennie. Contrairement à 6 formations dans l'Est (Tampa Bay
2x, Philadelphie, Ottawa, Buffalo, Toronto, Islanders).
28) Vous croyez que n'importe
quel joueur à son prix? C'est l'heure du défi: Essayez d'obtenir un
membre de la famille Staal chez les Blues de St.Louis sous la direction
de Fox. Mission impossible!
29) À
une époque, la MoneyLigue avait au-dessus de 40 dgs. En même temps. Avec
un club différent. Puisque la ligue avait tenté une approche avec une
ligue canadienne junior (LHJMQ pour commencer). Le projet est vite tombé
à l'eau après une demi-saison infructueuse coté participation.
30) Lors de la saison 1, lors
de mon repérage pour obtenir 30 dgs prêt a investir 30$ pour acheter un
club dans ce type de ligue "nouveau genre", j'avais formulé la promesse
suivante: " Je ne peux pas garantir la survie
sur 50 ans de la Ligue. Mais je peux vous assurez que nous feront tout
pour la voir durée au-delà du 5 ans." Ce qui représentait
alors la moyenne de survie des ligues simulées. Aujourd'hui, avec dix
ans au compteur, je ne saurais dire combien d'année la ligue tiendra le
fort. Mais je peux formuler une nouvelle promesse: elle ne fermera pas
ses portes avant plusieurs années- peut-être des décennies? Parce que la majorité des dgs tient a rester dans la ligue,
que le prochain draft sera de qualité (ce qui va aider l'intérêt des
petits marchés), et nous avons toujours des idées pour améliorer la
qualité du produit. Pour se sortir de l'homogénéité proposé par d'autres ligues. Notre objectif commun est, et devrait resté, d'être
différent des autres ligues. Pas meilleure, pas pire, simplement
différente. En se dirigeant sur un sentier à défricher ensemble, au fil
des ans.
Mon souhait pour l'anniversaire de la première décennie de la ML est
simple: que la ligue puisse connaître une autre décennie. Et, pourquoi
pas, voir un dg obtenir un club alors qu'il n'était pas né aux premiers
balbutiements de la MoneyLigue. Se serait écoeurant! :-P
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